Ahah, tellement kitch mais tellement fun à faire...
Et un truc -oh si simple pourtant- qui m'a fait piquer un fou rire toute seule pendant 10 minutes devant mon écran :
Je n'ai qu'une chose à dire...
BOING!
samedi 24 novembre 2007
niahahah Ô joie de la possession d'un scanner...
samedi 10 novembre 2007
Non j'ai pas regardé Grease. mais c'est la seule vidéo que j'ai trouvé avec cette chanson.
http://www.youtube.com/watch?v=w_pRcSWj6lc
Quand j’étais petite, j’avais très peur qu’en grandissant, mes relations avec ma famille, et par là j’entends mes parents, mon frère, puis plus tard ma sœur, se dégradent.
J’avais compris que plus on vieillissait, plus on voyait les problèmes que nous avions et plus ils nous accablaient et, je croyais que ces problèmes là finiraient par peser trop lourds sur nos épaules et finiraient par nous rendre trop malheureux pour nous aimez entre nous.
Eh bien maintenant je peux dire que non. Je ne sais pas si c’est le cas pour d’autre, mais désormais, je peux vous dire que j’avais tord.
J’ai la chance de mettre, en grandissant rapprocher de ma famille. En arrivant à un mode de réflexion adulte (où presque) j’ai acquis une plus grande capacité de compréhension de ceux que j’aimais. En les comprenant j’ai su réagir face à eux et, au final, je sais ce qui leur fait plaisir, ce qui les fait rire, ce qui d’une manière où d’une autre les rend heureux. Et eux savent aussi tous cela sur moi. Et enfin de compte, j’ai l’impression que ma famille est joyeuse, libre et que quoiqu’il arrive eux je ne les perdrais pas. Et je ris. Le rire chez nous est constant et c’est merveilleux parce que j’aime être chez moi. J’aime être avec mes parents, ma sœur, mon frère, même si je regrette que nous ne soyons pas plus proche que ça.
Aujourd’hui en ce 10 novembre 2007 J’ai fêté mon anniversaire. Bon, pour ceux qui s’en souvienne je suis née le 12, mais pas de chichi. Le 12 je ne pourrais être chez moi pour cause de lycée et d’internat.
Donc, j’ai fêté mon anniversaire. C’était très simple. Une journée comme les autres sans plus. Mes parents sont partis faire des courses, j’ai un peu travaillé. Et puis, le soir j’ai senti l’odeur du poulet au chocolat que mon père préparait dans la cuisine. Je suis descendue et, dans la salle à manger où il y à également notre ordinateur, on avait été chercher sur Internet une radio qui diffusait de vieux tubes pop, rock, blues et j’en passe. Il sentait bon et il faisait chaud. Je suis allée tourner dans la cuisine autour de mon père, le taquinant gentiment sur le chocolat qui giclait un peu partout. De taquinerie en vannes et de vannes en blagues, nous sommes arrivés en riant à table. Nous avons mangé, alternant poulet et grand verre d’eau où de bière, parce que, je vous avait pas dis, mais dans la sauce au chocolat, y’a le piment le plus fort du monde et ça arrache. Mais c’était trop bon. On a fait une pause ensuite, pendant laquelle on s’est déchaînés sur la musique rétro pendant que ma mère gloussait en fumant sa clope. Pour l’occase mon père s’est sorti un cigare. Ensuite, ils m’ont offert mon cadeau, quelque chose que je voulais depuis longtemps. Je ne sais pas ce qui m’a fait le plus plaisir a ce moment là. Le cadeau, où simplement à lueur fière et excitée de voir ma réaction dans leurs yeux. Puis le dessert. Un de ces trucs impossibles, sorte de coupe en nougatine avec couvercle inclus remplis de macarons. C’était beau et bon. Ensuite, on a encore danser et on à encore rit. Et puis il y a eu une autre pause où, eux sont aller se reposer et ou ma sœur regardait un film pendant que moi je dessinais. Et puis on s’est retrouver autour d’un autre film un film choisit spécialement pour moi, que j’aime beaucoup.
Et maintenant je suis la et je raconte tous ça parce que je suis heureuse et que je devais le dire.
Je crois que ça à été le meilleur anniversaire que j’ai fait. Pourquoi ? Parce qu’il était simple comme j’aimais et surtout parce que je vais m’en souvenir. J’aime me souvenir des choses qui m’ont rendues heureuse, c’est normal non ? Un jour cet article disparaîtra sûrement mais au moins je l’aurais écris.
Quand j’étais petite, j’avais très peur qu’en grandissant, mes relations avec ma famille, et par là j’entends mes parents, mon frère, puis plus tard ma sœur, se dégradent.
J’avais compris que plus on vieillissait, plus on voyait les problèmes que nous avions et plus ils nous accablaient et, je croyais que ces problèmes là finiraient par peser trop lourds sur nos épaules et finiraient par nous rendre trop malheureux pour nous aimez entre nous.
Eh bien maintenant je peux dire que non. Je ne sais pas si c’est le cas pour d’autre, mais désormais, je peux vous dire que j’avais tord.
J’ai la chance de mettre, en grandissant rapprocher de ma famille. En arrivant à un mode de réflexion adulte (où presque) j’ai acquis une plus grande capacité de compréhension de ceux que j’aimais. En les comprenant j’ai su réagir face à eux et, au final, je sais ce qui leur fait plaisir, ce qui les fait rire, ce qui d’une manière où d’une autre les rend heureux. Et eux savent aussi tous cela sur moi. Et enfin de compte, j’ai l’impression que ma famille est joyeuse, libre et que quoiqu’il arrive eux je ne les perdrais pas. Et je ris. Le rire chez nous est constant et c’est merveilleux parce que j’aime être chez moi. J’aime être avec mes parents, ma sœur, mon frère, même si je regrette que nous ne soyons pas plus proche que ça.
Aujourd’hui en ce 10 novembre 2007 J’ai fêté mon anniversaire. Bon, pour ceux qui s’en souvienne je suis née le 12, mais pas de chichi. Le 12 je ne pourrais être chez moi pour cause de lycée et d’internat.
Donc, j’ai fêté mon anniversaire. C’était très simple. Une journée comme les autres sans plus. Mes parents sont partis faire des courses, j’ai un peu travaillé. Et puis, le soir j’ai senti l’odeur du poulet au chocolat que mon père préparait dans la cuisine. Je suis descendue et, dans la salle à manger où il y à également notre ordinateur, on avait été chercher sur Internet une radio qui diffusait de vieux tubes pop, rock, blues et j’en passe. Il sentait bon et il faisait chaud. Je suis allée tourner dans la cuisine autour de mon père, le taquinant gentiment sur le chocolat qui giclait un peu partout. De taquinerie en vannes et de vannes en blagues, nous sommes arrivés en riant à table. Nous avons mangé, alternant poulet et grand verre d’eau où de bière, parce que, je vous avait pas dis, mais dans la sauce au chocolat, y’a le piment le plus fort du monde et ça arrache. Mais c’était trop bon. On a fait une pause ensuite, pendant laquelle on s’est déchaînés sur la musique rétro pendant que ma mère gloussait en fumant sa clope. Pour l’occase mon père s’est sorti un cigare. Ensuite, ils m’ont offert mon cadeau, quelque chose que je voulais depuis longtemps. Je ne sais pas ce qui m’a fait le plus plaisir a ce moment là. Le cadeau, où simplement à lueur fière et excitée de voir ma réaction dans leurs yeux. Puis le dessert. Un de ces trucs impossibles, sorte de coupe en nougatine avec couvercle inclus remplis de macarons. C’était beau et bon. Ensuite, on a encore danser et on à encore rit. Et puis il y a eu une autre pause où, eux sont aller se reposer et ou ma sœur regardait un film pendant que moi je dessinais. Et puis on s’est retrouver autour d’un autre film un film choisit spécialement pour moi, que j’aime beaucoup.
Et maintenant je suis la et je raconte tous ça parce que je suis heureuse et que je devais le dire.
Je crois que ça à été le meilleur anniversaire que j’ai fait. Pourquoi ? Parce qu’il était simple comme j’aimais et surtout parce que je vais m’en souvenir. J’aime me souvenir des choses qui m’ont rendues heureuse, c’est normal non ? Un jour cet article disparaîtra sûrement mais au moins je l’aurais écris.
affaires classée dans :
Bien dans sa peau
0
témoin(s)
Inscription à :
Articles (Atom)
